Une méta-analyse de 2017 a révélé que la consommation de café est généralement sans danger dans les limites de consommation habituelles et qu'elle est plus susceptible d'améliorer la santé que de causer des dommages à des doses de 3 ou 4 tasses de café par jour. Les exceptions comprennent un risque accru de fractures osseuses chez les femmes et un risque accru chez les femmes enceintes de perte fœtale ou de poids inférieur à la normal du bébé à la naissance. Une étude de 2021 indique qu'une consommation excessive (de l’ordre de 6 tasses par jour) serait corrélée avec une augmentation du risque de démence.
☆ Les effets du café☆
Les effets du café sont multiples et incomplètement étudiés. La caféine augmente la pression artérielle, augmente la résistance vasculaire et provoque une augmentation de l'activité de la rénine. Les mécanismes de ces effets demeurent inconnus. Toutefois, la caféine est un antagoniste connu des récepteurs à l'adénosine, récepteurs dont l'activation pourrait expliquer les effets décrits ci-dessus, sans qu'on connaisse le détail des cascades de réactions biochimiques en aval de ce récepteur et aboutissant finalement à l'effet observé.
La caféine du café a des effets sur le système cardiovasculaire : stimulation du cœur et augmentation de la fréquence cardiaque. Le café possède par ailleurs un effet hypertenseur et est déconseillé aux patients atteints de troubles cardiovasculaires graves ou chroniques. Cependant une étude suggère un effet anti-hypertenseur des grains de café vert sur un modèle animal d'hypertension. Une étude suggère que le café pourrait exercer son activité sur le système cardiovasculaire d'un organisme soumis à un exercice dynamique (exercice) en modifiant les paramètres comme la conductance vasculaire prise sur l'avant bras ou la vitesse du flux sanguin mesurée dans la même région au cours de l'exercice.
Globalement, la consommation modérée de café (trois à cinq tasses par jour) semble diminuer le risque de survenue de maladies cardiovasculaires, la mortalité globale et la mortalité cardiaque, une plus forte consommation annulant ce bénéfice.
Le café apporte aussi des minéraux (potassium), de la vitamine B3. Cependant, il diminue aussi l'absorption de certaines vitamines B et du fer.
Des résultats corrèlent la prise de café avec une plus faible incidence de diabète de type II. Cela semble être vrai tant pour le café normal que pour le café décaféiné et le thé. Le café inhibe le facteur de transcription NF-κB dont l'activation constante pourrait contribuer à la perte de sensibilité à l'insuline (caractéristique du diabète de type II).
Les effets du café sont multiples et incomplètement étudiés. La caféine augmente la pression artérielle, augmente la résistance vasculaire et provoque une augmentation de l'activité de la rénine. Les mécanismes de ces effets demeurent inconnus. Toutefois, la caféine est un antagoniste connu des récepteurs à l'adénosine, récepteurs dont l'activation pourrait expliquer les effets décrits ci-dessus, sans qu'on connaisse le détail des cascades de réactions biochimiques en aval de ce récepteur et aboutissant finalement à l'effet observé.
La caféine du café a des effets sur le système cardiovasculaire : stimulation du cœur et augmentation de la fréquence cardiaque. Le café possède par ailleurs un effet hypertenseur et est déconseillé aux patients atteints de troubles cardiovasculaires graves ou chroniques. Cependant une étude suggère un effet anti-hypertenseur des grains de café vert sur un modèle animal d'hypertension. Une étude suggère que le café pourrait exercer son activité sur le système cardiovasculaire d'un organisme soumis à un exercice dynamique (exercice) en modifiant les paramètres comme la conductance vasculaire prise sur l'avant bras ou la vitesse du flux sanguin mesurée dans la même région au cours de l'exercice.
Globalement, la consommation modérée de café (trois à cinq tasses par jour) semble diminuer le risque de survenue de maladies cardiovasculaires, la mortalité globale et la mortalité cardiaque, une plus forte consommation annulant ce bénéfice.
Le café apporte aussi des minéraux (potassium), de la vitamine B3. Cependant, il diminue aussi l'absorption de certaines vitamines B et du fer.
Des résultats corrèlent la prise de café avec une plus faible incidence de diabète de type II. Cela semble être vrai tant pour le café normal que pour le café décaféiné et le thé. Le café inhibe le facteur de transcription NF-κB dont l'activation constante pourrait contribuer à la perte de sensibilité à l'insuline (caractéristique du diabète de type II).
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